UN RÊVE DEVENU RÉALITÉ

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LE CONCEPT « BOUTIQUE IMMOBILIÈRE » DE ENGEL & VÖLKERS; DÉJÀ 10 BOUTIQUES AU QUÉBEC!

Arrivée dans la province en 2015, la filiale québécoise de la société allemande de vente et d’achat de propriétés de luxe Engel & Völkers représentait, pour Patrice Groleau et son associée Debby Doktorczyk — la paire formant un couple dans la vie —, l’occasion de réaliser leur rêve de créer « l’utopie d’agence » dans laquelle ils auraient aimé travailler en étant courtiers.

« On est devenus l’agence de luxe numéro un en volume au Québec après seulement trois ans d’activité quand l’industrie disait qu’on n’allait jamais réussir », se réjouit-il.

Pour Patrice Groleau, qui a acheté les droits de l’entreprise pour le Québec, son fondateur, Christian Völkers, est « un génie ». « C’est le Steve Jobs de l’immobilier », s’enthousiasme M. Groleau, lui-même féru de marketing immobilier. Engel & Völkers compte plus de 800 agences réparties dans plus de 30 pays.

Ayant déjà travaillé comme courtier pour des agences traditionnelles, M. Groleau avoue ne jamais s’y être senti à son aise. « Mes idées n’étaient pas entendues », relate-t-il. Au sein d’Engel & Völkers Montréal, l’homme d’affaires vante la créativité de ses employés, qui lui amènent leur lot de bonnes initiatives. L’objectif: avoir du plaisir tout en ayant pour visée d’être les meilleurs et en constante amélioration.

UNE ÉQUIPE DE COURTIERS CHEVRONNÉS

Selon lui, son agence immobilière se positionne vers « l’avenir du courtage », en se spécialisant et en sélectionnant des habitations de qualité. Avec Debby Doktorczyk, il est
aujourd’hui le plus gros franchisé nord-américain de la société allemande, couvrant 85% du territoire québécois avec ses boutiques immobilières, dont Montréal et Québec. La filiale montréalaise est même arrivée en tête du palmarès des franchises d’Engel & Völkers dans les Amériques en 2018, puis première au monde l’année suivante, devant des villes comme Dubaï, Paris et New York. Les résultats pour 2020 ne seront révélés que dans quelques semaines, mais M. Groleau a confiance de bien se positionner cette
année encore. « Durant la pandémie, on a explosé nos chiffres de l’an dernier, alors que ceux-ci nous avaient implacablement placés numéro 1 », tient-il à rappeler.

Des gens de tous les groupes d’âge et de toutes les nationalités forment l’équipe chevronnée de courtiers, choisis avec soin pour créer « une espèce de chimie », selon le
copropriétaire de la filiale montréalaise. « On les connaît tous, on connaît leurs familles, illustre M. Groleau. Ça sonne très cliché, mais c’est plus qu’une mission écrite sur un site Web. On est passés de la parole aux actes. »

Il espère d’ailleurs éventuellement céder les rênes de l’entreprise à ses enfants. Une vision à laquelle il travaille déjà aujourd’hui, puisque plusieurs membres de sa famille
comptent parmi les quelque 190 employés et courtiers d’Engel & Völkers et de McGill Immobilier : « Ma comptable agréée, quand elle avait 15 ans, était à mon mariage, racontet-il. Aujourd’hui, sa mère et son mari travaillent chez nous. Mon meilleur ami est chez nous, ma belle-soeur… »

MCGILL IMMOBILIER

UNE CROISSANCE PERPÉTUELLE DEPUIS 15 ANS

McGill Immobilier est le pionnier au Québec dans la vente et la mise en marché de projets d’immeubles en copropriété auprès de promoteurs. Les fondateurs, Patrice Groleau et Debby Doktorczyk, ont saisi l’occasion de gagner ce créneau en s’inspirant de ce qui existait déjà aux États-Unis et au Canada anglais. « Ça a commencé avec un projet, deux projets… et ça a monté, monté, monté », explique M. Groleau, qui ajoute que son entreprise en compte actuellement 33. Il estime d’ailleurs que, sans la passion pour l’immobilier qui le lie à sa conjointe et l’union complémentaire de leurs forces, l’agence n’aurait pas eu le succès actuel. « Et je pense qu’on a le flair pour bien s’entourer. On est très sélectifs », précise l’homme d’affaires.

Les courtiers immobiliers de l’entreprise située à proximité du Musée des beauxarts au centre-ville de Montréal reçoivent une formation et se spécialisent dans la vente d’appartements en copropriété sur plan. L’agence connaît une croissance perpétuelle depuis 15 ans, malgré l’afflux d’appartements en copropriété en revente, depuis le début de la pandémie. Contrairement à plusieurs de ses compétiteurs, M. Groleau estime avoir très bien performé pour l’année 2020.

« JUSTE WOW ! »

« Quand on a atteint 25 % des parts de marché dans la grande région de Montréal, c’était déjà impressionnant, mais ensuite, 50 % de parts de marché en pleine pandémie, c’était juste wow ! souligne M. Groleau. Il n’y a personne aujourd’hui sur le marché qui peut se targuer d’avoir la même ampleur que McGill Immobilier. »

Si le public les apprécie surtout pour leurs ventes, les employés de l’agence immobilière épaulent aussi les collaborateurs, notamment en ce qui concerne l’image de marque et les études de faisabilité.

L’entreprise ne compte pas étendre ses activités à d’autres provinces, affirme M. Groleau. « On veut garder ça dans un format où l’on connaît tout le monde. On ne veut pas perdre cette culture qu’on a créée, cette ambiance que les courtiers aiment », ajoute-t-il, se décrivant plus comme un coach qu’un patron. « On est plus en soutien qu’en direction. Il y a une sorte d’humilité dans l’approche. »

L’agence immobilière s’implique également dans la philanthropie, en étant depuis plusieurs années partenaire de la Fondation CHU Sainte-Justine par l’entremise du bal
annuel. Malgré l’annulation de l’événement en personne en raison de la pandémie, la famille Groleau a décidé de s’investir personnellement, ainsi qu’à titre de commanditaire, en compagnie de 19 autres familles afin de collecter un total de 400 000$ pour la Fondation d’ici le 31 mars. Elle est également commanditaire et ambassadrice du Grand Tirage de la Fondation du CHUM, qui vise à ramasser plus de 2 000 000 $ au profit du centre de recherche du CHUM (CRCHUM).

LE NOMBRE DE COURTIERS CHUTERA DANS LA PROCHAINE DÉCENNIE

D’ici dix ans, le nombre de courtiers connaîtra une forte baisse, prédisent Patrice Groleau et Debby Doktorczyk, propriétaires de McGill Immobilier et de la franchise québécoise d’Engel & Völkers.

S’il estime à 13 000 le total actuel de courtiers immobiliers dans la province, M. Groleau prévoit qu’ils ne seront plus que 8000 au cours de la prochaine décennie. « Malheureusement, il y a un mythe sur la facilité du courtage. Trop de futurs courtiers minimisent l’implication en temps et en argent, ainsi que les aptitudes nécessaires », constate l’homme d’affaires.

Selon lui, l’avenir de la profession passe par la sélection minutieuse des courtiers et par la spécialisation des agences. Engel & Völkers vise à compter 1 % des courtiers de la province et estime que seulement 5 % de tous les courtiers possèdent un profil adapté à la réalité de McGill Immobilier.



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