« PATRICE GROLEAU : une expertise immobilière hors du commun » – LA PRESSE

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McGILL IMMOBILIER et ENGEL & VÖLKERS

Patrice Groleau : une expertise immobilière hors du commun

Patrice Groleau et sa conjointe, Debby Doktorczyk, sont propriétaires de McGill Immobilier et d’Engel & Völkers Montréal/Québec. Actifs dans la vente de condos neufs et de résidences de prestige partout au Québec, ils sont à la tête d’une équipe de 175 spécialistes d’élite qui sont prêts à faire des affaires avec une clientèle en quête d’excellence. Patrice Groleau l’admet d’emblée : depuis 20 ans, la passion du couple pour l’immobilier se vit du matin au soir, sept jours par semaine.

L’expertise de ce tandem est unique : à Montréal, un condo sur quatre est vendu par McGill Immobilier. Dans ce secteur, son historique de transactions surpasse les 4 milliards de dollars. « Pendant plusieurs années, nous avons vendu plus de 70 % des condos dans Griffintown », signale Patrice Groleau. Et depuis mars ? McGill Immobilier et d’Engel & Völkers sont derrière les ventes de 50 % (la moitié !) des projets immobiliers d’envergure dans le Grand Montréal.

Entre réalité et optimisme
Marché, données, tendances, télétravail, attrait des régions : Patrice Groleau n’attend pas les statistiques officielles pour dresser en temps réel un portrait révélateur du dynamisme immobilier. Sollicité chaque semaine par les experts, les planificateurs financiers et les médias, il donne l’heure juste, quitte à froisser certaines perceptions : « Notre volume transactionnel nous procure les meilleures données en ville pour obtenir des diagnostics et établir des pronostics attestés, dit-il. Nous connaissons parfaitement le marché et suivons son évolution, au profit des acheteurs, des vendeurs et des promoteurs. »

Patrice Groleau voit l’avenir avec optimisme : « Certaines personnes prennent des décisions permanentes, basées sur une situation temporaire. Ce n’est pas nécessairement avisé. Même si la croissance ne sera pas aussi spectaculaire que par les récentes années, le centre-ville demeure très attrayant. » Le spécialiste entrevoit l’émergence de modèles hybrides, entre ville et villégiature. « Mais Montréal étant une île, avec ou sans pandémie, sa densification organique va hausser la valeur des propriétés. C’est une courbe immuable. »

Il poursuit : « Nous nous considérons comme des ambassadeurs immobiliers pour la métropole et la province auprès d’une clientèle internationale d’exception, mais il ne faut pas sous-estimer notre puissante clientèle entrepreneuriale locale. Il y a beaucoup plus de belles réussites québécoises qu’on le pense ! »

Le rêve québécois
Patrice Groleau souligne aussi qu’au sein de sa clientèle québécoise, deux personnes sur cinq sont immigrantes (le double de la moyenne dans la province), en quête de culture, d’un mode de vie et d’écoles de qualité. À ce chapitre, Montréal se démarque : « Nous recevons des demandes de toutes les régions du globe, y compris de nombreux pays francophones, car le français est un atout, fait-il valoir. Nous avons un joyau entre les mains, et l’engouement ne va pas cesser, d’autant plus que les taux d’intérêt seront bas — au moins jusqu’en 2023. »

Selon lui, l’intelligence artificielle, les énergies vertes, les ressources, les réserves d’eau douce et la stabilité politique et économique, en plus des programmes sociaux, constituent d’immenses avantages. « Montréal est la ville la plus scandinave du continent ! Un lieu d’avenir, sécuritaire pour quiconque aspire à améliorer sa qualité de vie. »

Quant aux succès de McGill Immobilier et d’Engel & Völkers, Patrice Groleau souligne l’excellence de la formation continue et le haut taux de diplomation des courtiers, des spécialistes multilingues issus de plusieurs horizons culturels. « Notre vision est toujours à long terme, dit-il. Nous acceptons moins de 1 % des courtiers souhaitant se joindre à l’équipe d’Engel & Völkers. C’est complètement inusité dans notre secteur. »

Vers de nouveaux sommets
En matière de luxe extrême, le portfolio du tandem Groleau-Doktorczyk et de son équipe comprend le spectaculaire projet Four Seasons. D’une superficie de 372 à 836 m² (4 000 à 9 000 pi²), chaque résidence se vend entre 7 et 15 millions de dollars.

Or, peu importe la taille et la nature d’un projet, Patrice Groleau croit que la mise en marché immobilière s’apparente à un art requérant une virtuosité soutenue et impliquant des milliers de décisions qui, une fois imbriquées, feront une grande différence. « À ce chapitre, nous avons redonné ses lettres de noblesse à la profession de courtier », conclut le spécialiste de l’immobilier.



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